À propos des archives d'Ensor

Présentation
1. Contexte des archives
Le KMSKA conserve 617 documents d'archives relatifs à James Ensor. Ces documents constituent des sources précieuses pour le projet de recherche sur Ensor, offrant une meilleure compréhension de son œuvre et de ses opinions. À ce jour, les archives Ensor du KMSKA n'ont pas été enregistrées ni rendues accessibles sous forme numérique.
Les pièces d’archives proviennent en grande partie de la collection Janssens à Lierre (1952) et de la collection Hespel (1997). Certaines pièces ont été acquises séparément. En 2019, l'ensemble des documents a été numérisé selon les directives Metamorfoze par un prestataire externe d/arch digitaliseert.
Les archives comprennent 76 manuscrits (discours, prose), 339 lettres de correspondance et cartes postales, 150 pièces photographiques et 52 documents relatifs à Ensor. Ces derniers documents sont hétéroclites et comprennent aussi bien des invitations à des expositions que des coupures de journaux, ou des menus de banquets.
Les pièces d’archives comprennent des cartes postales et des lettres de correspondances adressées aux ou provenant de ses proches, notamment sa sœur Marie (Mitche) et sa nièce bien-aimée Alexandrine, de nombreuses relations professionnelles et amicales telles que les critiques Pol De Mont, Camille Mauclair, Théo Hannon, Olympe Gilbart, André Malraux, des collègues tels qu'Armand Rassenfosse, des marchands d'art tels que Van Missiel, Sam Salz et Giroux et les frères Franck. Les manuscrits relatifs aux « écrits » d'Ensor sont ponctués de corrections et parfois inédits, comme un curieux petit texte intitulé « Sur l'expérience Van Gogh ». La collection apporte ainsi un éclairage nouveau sur différentes questions biographiques et artistiques, mais rompt avant tout avec l'image romantique d'Ensor, excentrique et misanthrope, au milieu de sa boutique de coquillages à Ostende.
En outre, le KMSKA possède pas moins de 38 peintures et 650 dessins d'Ensor : une collection indispensable pour comprendre l'œuvre d'Ensor. Les pièces conservées dans les archives du KMSKA viennent compléter la collection d'œuvres d'art. Elles contiennent des informations qui brossent un tableau nouveau de la personnalité d'Ensor et de son activité artistique. Parfois, ces informations peuvent être très spécifiques lorsqu'elles font référence aux pièces conservées dans la collection du KMSKA, comme L'Intrigue et La Mangeuse d'huîtres.
2. Objectif du projet
La mise en ligne du fonds d'archives numérisé de James Ensor au KMSKA va de pair avec le projet de recherche sur Ensor (Ensor Research Project) mené depuis plusieurs années au musée. Après plusieurs expositions concluantes, notamment au Japon, et la publication de la thèse de doctorat de Dr. Herwig Todts James Ensor, occasioneel modernist. Een onderzoek naar James Ensors artistieke en maatschappelijke opvattingen en de interpretatie van zijn kunst, l'année 2013 a donné le coup d'envoi des recherches approfondies sur les matériaux, les techniques et l'histoire de l'art. L'objet et la conception de l’étude portent sur le processus créatif d'Ensor dans une perspective tripartite. Il s'agit dans un premier temps d'examiner les motivations et les fondements théoriques des choix artistiques d'Ensor. L'étude comprend également un volet consacré aux matériaux et aux techniques, ainsi que des recherches en histoire de l'art portant sur la destination, l'historique, la réception, l'iconographie et l'interprétation des peintures d'Ensor conservées au Musée royal et d'œuvres similaires.
Le fonds d'archives constitue une véritable valeur ajoutée pour ce premier pilier de la recherche. La correspondance de James Ensor, ainsi que les cartes de condoléances envoyées à la suite de son décès, permettent de mieux comprendre ses choix artistiques et ses opinions. Témoignant des opinions artistiques, sociales et philosophiques d'Ensor, celles-ci illustrent son aspiration à la béatitude, son attention portée au rendu réaliste des formes, sa profonde aversion pour la banalité ainsi que sa quête permanente d'innovation et de diversification.
Les lettres de correspondance et les manuscrits contiennent de nombreuses références aux événements de sa vie ainsi qu'à la réalité socio-artistique au sein de laquelle il évoluait ou dont il subissait l'influence. C’est la raison pour laquelle le projet consiste d'une part à enregistrer chaque pièce d'archives avec un minimum de métadonnées descriptives, et d'autre part à transcrire le texte source. Ensuite, à des fins de recherche et de réutilisation, les lettres et les manuscrits – en grande partie rédigés en français – feront l'objet d'une traduction vers le néerlandais et l'anglais. La publication de ces traductions sur le site web se fera en différentes étapes. Ce projet est actuellement en cours, mais vous pouvez voir ici les premiers résultats.
L'ouverture des archives numérisées d'Ensor, menée en parallèle avec le projet de recherche Ensor, permet de rendre accessible à tous des éléments relatifs à la vie et à l'œuvre d'Ensor. Ensemble, ces deux projets s'inscrivent dans l'ambition portée par le musée : devenir le centre d'expertise dédié à James Ensor.
Présentation et interprétation
3. Métadonnées
Chacune des pièces archivées est associée à un numéro d'inventaire unique (record identifier) et à un numéro d'image (numéro A numérique). Le numéro d'inventaire offre également la possibilité d'effectuer des recherches dans la base de données d'archivage dans laquelle se trouvent des métadonnées plus détaillées concernant les propriétés matérielles et l'état de conservation de la pièce archivée.
La collection d'archives regroupe des documents originaux dont la numérisation est réalisée selon les normes de Metamorfoze. La correspondance, les cartes postales et les manuscrits feront également l'objet d'une transcription du texte source en français, suivie d'une traduction vers l’anglais britannique et le néerlandais.
Cependant, il n'a pas toujours été possible de déterminer avec certitude la date et/ou le lieu de l’établissement ou de l'émission. En l'absence d'indication de date sur la pièce d'archive, des recherches ont été effectuées. Des éditions des publications ou des indications figurant dans le texte ont servi de référence pour procéder à une datation aussi précise que possible. Lorsque le champ Date est vide, aucune date n'est connue. L'indication de la date se fait sous les formes suivantes :
- Sans date
- Circa, vers Date approximative, en arrêtant la précision à l'année ou au mois.
- Avant une date précise
- Après une date précise
Lorsqu'il est fait mention d'une personne (artiste, écrivain, etc.), d'une institution (musée, galerie, etc.) ou d'une exposition, un lien renvoie à la pièce d'archive. Il est ainsi possible de rechercher toutes les pièces s'y rapportant. La fonction de recherche facilite des recherches ciblées : type d'objet, date de début, date de fin, correspondant, sujet.
Cette fonctionnalité s'applique également aux œuvres d'art (peintures et dessins) d'Ensor mentionnées dans ses écrits et appartenant à la collection du KMSKA. Un lien redirige alors vers le catalogue des collections disponible en ligne. Lorsqu'un manuscrit est publié ou mentionné dans un ouvrage, un lien renvoie au catalogue de la bibliothèque. En cas de mention d'une œuvre d'art ou d'une publication ne faisant pas partie de la collection, un lien s'affiche dans le champ d'annotation.
Pour conclure, les documents d'archives sont également interconnectés. En effet, il se peut que l’archive possède plusieurs copies d'un même manuscrit. Au crayon, il est alors indiqué, à titre d’exemple, « copie exacte ». Il arrive parfois, sans que cela soit explicitement mentionné dans le document, qu'il ressorte clairement qu'il s'agit d’un brouillon d'une autre pièce archivée. Dans ce cas, un lien renvoie vers la/les pièce(s) connexe(s) ; par exemple, lorsqu’Ensor mentionne le texte d'un discours dans une autre lettre, ou lorsque le fonds d'archives possède plusieurs photos d'une même statue.
S’alignant sur le Art and Architecture Thesaurus (AAT), toute pièce d'archive est liée à un sujet. Grâce à cette fonctionnalité, il est possible d’effectuer une recherche par sujet dans le fonds d'archives.
4. Les principes sous-jacents aux transcriptions
En publiant les archives Ensor, l'objectif est de les rendre accessibles à la recherche scientifique comme à la réutilisation. C'est pourquoi nous proposons également des transcriptions des textes originaux. Les transcriptions ont été réalisées en plusieurs étapes. Dans un premier temps, des tests de transcription automatisée et de transcription manuelle ont été réalisés. La relecture du contenu a été assurée par des spécialistes internes d'Ensor ainsi que par des historiens de l'art, suivie d'une relecture grammaticale et textuelle par des transcripteurs externes et des traducteurs de langue française.
Parallèlement, l'équipe a travaillé sur la transcription des manuscrits et des lettres à l'aide d'outils de transcription reposant sur des logiciels d'intelligence artificielle. Pour cela, le logiciel HTR (Handwritten Text Recognition) d'eScriptorium a été testé. Les résultats ainsi obtenus ont ensuite fait l'objet de plusieurs corrections manuelles et d'une révision. Les transcriptions figurant sur le site web sont essentiellement le fruit d'une transcription manuelle, et partiellement d'une transcription automatique.
Cependant, il est important de souligner que la transcription peut différer du texte source français. Le texte original a certes servi de point de départ. Toutefois, des modifications manuscrites telles que des biffures, des annotations ou l'écrasement de mots peuvent entraîner certaines différences.
Ensor utilise l'écriture à plusieurs fins : préparer un discours, améliorer son écriture, communiquer à des fins pratiques, exprimer sa voix ou son soutien, etc. Il cherche également à se mesurer à d'autres écrivains. L'interprétation des manuscrits est parfois ambiguë, notamment en raison de l'utilisation d'un vocabulaire archaïque, l'invention de mots et des allusions à des événements ayant eu lieu dans l'environnement de l'auteur. Il fait également preuve de peu de rigueur en matière d'orthographe et de ponctuation : mots biffés, phrases tronquées, notes ajoutées au crayon, écriture en sens inverse, etc.
Lors de la transcription, une attention particulière a été portée au respect de la mise en page de la lettre, de la carte postale ou du manuscrit. Afin d'en améliorer la lisibilité, les textes ont été adaptés à la grammaire et à l'orthographe françaises. Afin de garantir la lisibilité et la qualité des transcriptions, des modifications ont été apportées concernant l'utilisation des majuscules et l'orthographe des noms propres et des noms de lieux, si nécessaire. Ces modifications visaient également à faciliter la traduction vers le néerlandais et l'anglais.
Les éléments corrigés/ajoutés/supprimés sont les suivants :
- L'ajout des guillemets manquants (dans les passages où Ensor ne les utilisait pas) ;
- Écrire en toutes lettres les abréviations lorsque celles-ci sont obsolètes et/ou que le contexte ne permet pas d'en déduire aisément le sens ;
- La ponctuation (virgules, deux-points ou points-virgules) est corrigée lorsqu'elle gêne la compréhension de la phrase ;
- Les erreurs de langue et d'orthographe ont été corrigées lorsqu'elles entraînent une interprétation erronée ;
- Les titres des œuvres d'art sont toujours écrits en italique ;
- Si le texte source ne permet pas de comprendre le sens d'un mot, bien que ce mot revêt une importance cruciale pour le sens de la phrase, le mot en question est suivi d'un ? ;
- Mots entre deux barres obliques / lorsque la partie du texte a été ajoutée ultérieurement au texte principal ;
- Les mots entre crochets [ ] lorsqu'ils sont incomplets ou [...] lorsqu'ils sont illisibles.
- Les mots biffés dans le texte source mais encore lisibles apparaissent également biffés dans la transcription ;
- Lorsque le texte a été écrit dans un sens particulier, il est inséré à un endroit approprié du texte afin de faciliter la lecture.
5. Traductions
Plusieurs traductions des écrits d'Ensor ont déjà été publiées par le passé. Parmi les travaux les plus importants, figurent, pour le néerlandais, « Picturale Pennenvruchten: geschriften » de 1990 et, pour l'anglais, la traduction de quelques paragraphes d'écrits provenant de la thèse de Herwig Todts de 2013 qui a été traduite en anglais en 2019 : « James Ensor, Occasional Modernist. Ensor’s Artistic and Social Ideas and the Interpretation of his Art ». Les traductions figurant sur le site web sont uniquement basées sur les transcriptions réalisées dans le cadre du présent projet.
Compte tenu de la complexité de ces traductions, le projet a été divisé en deux parties : les manuscrits et les lettres/cartes postales, d'une part, et les traductions FR-ANG et FR-NL, d'autre part. En outre, le projet de traduction a été divisé en plusieurs phases. Actuellement, seule une partie des lettres et des manuscrits a été traduite : 24 des 76 manuscrits et 110 des 340 lettres et cartes postales. Dans les années à venir, une deuxième phase est prévue pour la traduction des textes restants.
Les manuscrits ont été transcrits (et interprétés) par un traducteur FR-ANG et un traducteur FR-NL. Ils ont ensuite été traduits en néerlandais et en anglais. Puis, chaque texte a fait l'objet d’une révision, tant du point de vue du contenu que de la forme, par un spécialiste Ensor et par le personnel du musée ayant une bonne connaissance des langues en question. Les lettres et cartes postales ont d'abord été transcrites par un transcripteur professionnel affilié à une agence de traduction. Les transcriptions ont ensuite été révisées par un relecteur du bureau de traduction et par le personnel du musée. Puis, un traducteur FR-ANG a traduit vers l'anglais et 5 traducteurs FR-NL ont traduit vers le néerlandais. Chaque traduction a ensuite fait l'objet d'une seconde lecture par un spécialiste d'Ensor et par des employés du musée ayant une bonne connaissance des langues concernées.
Comme plusieurs traducteurs et relecteurs étaient impliqués dans ce projet, des modalités ont été définies au préalable. En raison du style d'écriture spécifique d'Ensor, le choix s'est porté sur des traducteurs ayant une formation de traducteur littéraire. Deuxièmement, les traductions devaient respecter, dans la mesure du possible, la singularité du style d'écriture d’Ensor. Concrètement, cela signifie que les allitérations, les jeux de mots, les néologismes, les allusions à des événements de la vie d'Ensor ou du monde de l'art en général sont traduits aussi fidèlement que possible du français vers le néerlandais et l'anglais. Il s'agit donc d'un exercice d'équilibre entre lisibilité et authenticité.
Par exemple :
Ensor termine souvent ses lettres par des formules de salutations pompeuses et longues. Ces formules de politesse, typiques des textes du début du XIXe siècle, sont moins courantes de nos jours. A titre d’exemple : « Je vous prie, cher Monsieur, d'agréer l'expression de mes sentiments les plus dévoués. » devient “ « Yours faithfully » en anglais et « Hoogachtend » en néerlandais. Cependant, comme il a été décidé de rester fidèle au style d'écriture d'Ensor, il a été choisi de conserver la version longue. Résultat :
- NL « Accepteer alstublieft de uitdrukking van mijn meest toegewijde gevoelens.»
- ANG « Please accept the expression of my most devoted feelings.»
En ce qui concerne la mise en page, c'est la lisibilité du document qui prime. La transcription ou la traduction est affichée à côté du scan originel sous forme d'un texte continu. Le menu déroulant en haut à droite permet de sélectionner la langue de son choix. Dans le texte source original français de la numérisation, les mots en fin de ligne sont parfois coupés par un tiret de division. Cependant, dans la traduction et la transcription, le document est présenté sous forme d'un texte continu. Puis, une phrase ou un paragraphe peut être plus long ou plus court en néerlandais ou en anglais qu'en français, en raison du vocabulaire et des tournures de phrase propres à chaque langue.
L’utilisation
6. Lien avec d’autres archives
Une liste des collections et des institutions d'archives qui conservent des archives de James Ensor est disponible sur Archiefpunt.
Les principales archives sont énumérées ci-dessous (avec les publications correspondantes dans le catalogue de notre bibliothèque) :
Lettres Emma Lambotte
MRBAB Danielle Derrey-Capon, James Ensor – Lettres à Emma Lambotte 1900-1914. Bruxelles, 1999.
Archives Emma Lambotte, 1904-1914 (Bruxelles, Archives de l'Art contemporain (AACB/MRBAB))
Lettres Ernest Rousseau
« Avec le noble crayon... » : lettres de James Ensor à la famille Rousseau
Lettres en possession du Fonds Rousseau, conservées aux Archives de l'Art contemporain en Belgique, MRBAB, Bruxelles.
- Archives Octave Maus, 1883-1917 (Bruxelles, Archives de l'art contemporain (AACB/MRBAB))
- Archives Pol de Mont, 1894-1900 (Ostende, MuZEE)
- Archives André De Ridder, 1910, 1920-1930 (Ostende, MuZEE)
- Archives André De Ridder, 1900-1960 (Anvers, AMVC - La Letterenhuis)
7. Publications précédentes
Des lettres d'Ensor ont d'ores et déjà été partiellement publiées :
- Mes écrits, ou les suffisances matamoresques
- Mes écrits
- Ensor à Einstein
- Lettre à Franz Hellens, Eugène Demolder
- Lettres, 1999
- Lettres à André De Ridder, avec une introduction du destinataire
- Lettres à Emma Lambotte, 1904-1914
- Picturale pennevruchten : geschriften
8. Publication en ligne
Citation
La notation suivante peut être utilisée pour citer un document d'archives :
- Identification du document [lettre, manuscrit, sceau, menu, photo, etc.]
- Prénom Nom de l’expéditeur/auteur [James Ensor]
- Prénom Nom du destinataire [Emma Lambotte],
- Lieu de la rédaction [si nécessaire : « s.l. »],
- Date de la rédaction [si nécessaire : « s.d. »].
- Lieu de conservation [nom de la ville en français],
- Nom de l'institution [dans la langue d'origine],
- Nom de la collection de lettres [Correspondance avec James Ensor]
- Numéro d'inventaire
- Édition en ligne : URI KMSKA (consulté le JJ/MM/AAAA).
Ex. : Carte postale d'Emma Lambotte à James Ensor, Anvers, [11/06/1909]. – Anvers, Koninklijk Museum voor Schone Kunsten, Fonds Collection d’archives James Ensor, inv. tg:kmskabr:233. Édition en ligne URI KMSKA (consulté le 22/05/2024).
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Remerciements
Le projet a été réalisé par une équipe dirigée au sein du musée et a été soutenu par des parties externes en termes de traduction, d'enregistrement et de TIC.
En outre, le projet a été rendu possible grâce aux fonds du FOSB, le Flemish Open Science Board, une initiative du gouvernement flamand. L'Open Science vise à rendre la recherche scientifique plus ouverte en mettant l'accent sur le partage généralisé des connaissances, des résultats et des outils.
Transcription et traduction
Het Vertaalcollectief
Traducteurs sous contrat-cadre : Heid Persoon, Sam Vangheluwe
Traducteurs FR-ANG : Galatea Laudouar, Michael Lomax
Traducteurs FR-NL : Maia Van Langendonck, Kim Schepens, Ursula Teijink, Titus Kroon, Janine Cathala-Vette, Catharina Van den Berghe
Équipe de projet
Interne : Nathalie Monteyne, Manou De Sutter, Yfa Everaerd, Nette Willekens, Eline Wellens, Herwig Todts, Chantal Lefeber, Claudio Carreon, Floris Verhoeven, les étudiants-jobistes Steffi et Tova, les transcripteurs bénévoles, l'équipe de marketing et de communication.
Externe : Website LeapForward, HeroSolutions